Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
PHILO-ALETHEIA
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 84 276
10 décembre 2012

COMME UN FEU OUBLIE

comme un feu oublié

"Comme un feu oublié"(détail)

                                         BC 

« Nos solitudes d’enfant nous ont donné des immensités primitives.

Ainsi, toujours en nous, comme un feu oublié, une enfance peut reprendre. »

                                                                                        Bachelard.

Publicité
Publicité
Commentaires
P
A quelles conditions laisserons-nous jaillir la lave incandescente de l'originaire ? "L'immensité primitive" ne se livre-t-elle pas dans l'esseulement archaïque du hors-langage, lorsque la voûte céleste se libère de ses étoiles fixes et que la paume de la main s'étire au-delà des horizons de la pensée ? L'enfant est celui qui ne parle pas (in-fans), celui qui contemple le territoire inviolé de sa sensation, flamme silencieuse et infidèle, enlacée aux choses sans nom. <br /> <br /> <br /> <br /> DK
Répondre
G
Que vivent les commencements, les aurores boréales et les sublimes joies du gai matin!
Répondre
B
Pensée substance<br /> <br /> <br /> <br /> J’avais relevé cette citation de Bachelard et je l’avais écrite dans un carnet il y a plusieurs années. (Celle- ci parmi d’autres perles de Bachelard dont les livres m’ont souvent accompagnée). Lorsque je la retrouvais, elle produisait chaque fois en moi une adhésion directe. Je l’ai retrouvée récemment après avoir développé de nouvelles recherches artistiques, restées jusqu’à présent à l’état embryonnaire. J’ai alors pris conscience combien cette phrase qui m’avait toujours semblé attendre un nouveau voyage, avait participé , comme une substance à ce nouveau travail. <br /> <br /> BC
Répondre
PHILO-ALETHEIA
Publicité
Derniers commentaires
Publicité